Esclavage

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 11 ans

Tel est pris...

Ca y est! elle a enfin terminé son repas! Sentant mon impatience, je suis sûr qu'elle a fait exprès de manger aussi lentement! et dire qu'elle m'a interdit à moi de manger! Un repas que j'avais moi-même préparé dans ma propre maison!

Elle se lève, elle me toise d'un air méprisant, me balaie des pieds à la tête, de son regard dur et dominateur.

Même sans ses hauts talons elle doit être plus grande que moi. Elle porte encore ses vêtements de voyage: un jeans serré, un T-shirt et des baskets. Ces vêtements simples me permettent de me faire une idée de son anatomie; ses E-mails ne mentaient pas: elle fait de la musculation; tout son corps exhale la puissance et la souplesse.

Mais elle est restée magnifiquement féminine: ses muscles n'ont fait que mettre en valeur ses formes plantureuses; des épaules larges, une taille étroite, des hanches et des fesses pleines mais fermes, un ventre parfaitement plat, des jambes interminables au galbe parfait.

Et ses seins! Oh! quels seins!

Ils tendent le T-shirt comme deux obus tant ils sont fermes et costauds; et elle ne porte pas de soutien-gorge comme le révèlent ses mamelons érigés qui déforment le coton... Ses mouvements sont souples et assurés, on sent qu'elle est sûre de sa puissance... une vraie tigresse!

Esclave! je vais me préparer! Pendant ce temps, fais la vaisselle et déshabille toi! Je veux que tout soit terminé quand je reviendrai dans un quart d'heure! ordonna-t-elle en anglais.

Je savais qu'elle parlait très bien le français, mais elle ne s'était jusqu'à maintenant exprimée que dans sa langue maternelle.

A vos ordres, Maîtresse Sadia, murmuré-je le regard baissé. Malédiction! un quart d'heure, ça va être juste!

Elle s'enferme dans ma chambre à coucher. L'oreille collée à la porte, je l'entends ouvrir sa lourde valise et s'affairer.

Mais j'allais oublier! Je cours à la cuisine et ouvre le robinet faisant couler l'eau à fond dans l'évier. Il s'agit de ne pas éveiller son attention... à pas de loup je reviens derrière la porte.

L'anxiété commence à envahir mon esprit. Cela fait près d'une année que j'organise cette rencontre, que nous échangeons du courrier électronique.

Et cette fois elle est là.

Et si ça ne marchait pas? Et si elle était trop forte, trop puissante? Derrière la porte j'entends le bruit de crochets que l'on ferme, de fermeture éclair que l'on tire, de cuir que l'on froisse...

Je consulte ma montre: déjà dix minutes! Que faire? obéir à ses ordres? Un quart d'heure, c'est peut-être trop court... Non, j'attends encore cinq minutes. Le bruit de ses talons aiguilles sur le sol résonne comme le tic-tac d'une horloge. Toujours pas le moindre changement. Plus qu'une minute... Peut-être aura-t-elle du retard?

Non! je l'entends qui s'approche de la porte! Trop tard pour fuir... je recule d'un pas... la porte s'ouvre sèchement et je reste estomaqué!

Dans son nouvel habillement elle paraît encore plus imposante: ses talons-aiguilles de dix centimètres la rendent encore plus grande qu'auparavant et elle semble vraiment me surplomber maintenant; elle doit bien atteindre les deux mètres... de ses chaussures partent deux lacets de cuir qui s'entrecroisent sur ses mollet pour venir s'attacher sous le genou. Ses cuisses musclées sont nues jusqu'à l'aine où commence son justaucorps de cuir noir.

Il moule parfaitement sont mont-de-Vénus proéminent garni d'une fermeture éclair qui s'arrête juste au-dessus du pubis. De là, le vêtement se sépare en deux langues noires qui, contournant le nombril, lèchent ses seins ornés de coques de métal doré dotée d'une pointe acérée, pour passer ses épaules et se réunir dans son dos avant d'aller s'infiltrer entre ses fesses musculeuses, laissant à nu la totalité de ses flancs, des genoux jusqu'aux aisselles épilées. Une ceinture faite d'une chaîne d'acier noirci serre sa taille, se fermant sur le devant par un cercle doré qui entoure son nombril. Sur ses épaules, jusque sous ses omoplates cascade son abondante chevelure auburn naturellement bouclée. Sa peau souple est bronzée intégralement.

Son visage n'a pas cillé lorsqu'elle m'a aperçu en ouvrant la porte, elle semble me fusiller du regard. Elle semble parfaitement maîtresse d'elle-même...

Euh... ça va? balbutié-je incapable de trouver autre chose à dire.

Je t'avais ordonné de te déshabiller! Esclave! s'exclame-t-elle en anglais; à ce moment, elle note le bruit de l'eau à la cuisine; en un éclair elle comprend la supercherie. Et je t'avais dit de faire la vaisselle! ça commence très mal, mais je vais te montrer que je sais mater les rebelles!

Sur ce elle s'avance sur moi.

Que faire? ses mouvements sont toujours aussi assurés, je peux maintenant voir parfaitement les muscles jouer sous sa peau.

Attendez... euh... il faudrait juste que... Ouch!

Elle vient de crocher sa main sur ma nuque et c'est soudain comme si mes cervicales allaient être broyées. Elle m'oblige à me plier en deux et m'entraîne dans ma chambre à coucher. Sa valise est grand ouverte et, avant qu'elle me jette sur le lit, j'ai un bref aperçu des chaînes, des cordes, des menottes et de divers autres objets qu'elle contient.

No time to...waste, dit-elle.

Tiens? il semble qu'elle ait eu un peu de mal à parler. Comme elle est assise sur mon dos, j'ai de la peine à voir ce qui se passe. Me tordant la nuque au maximum, je l'observe du coin de l'œil.

Oui! il me semble voir sur son visage une sorte de grimace! Le médicament est en train de faire son effet!

Un bruit de chaînes... soudain je comprends! Elle se sent mal, mais ne veut pas que je m'en aperçoive, alors elle va me réduire à l'impuissance jusqu'à ce qu'elle soit guérie!

Nooooon! hurlé-je.

Ça va à l'encontre de tous mes plans. Je me mets à me débattre vigoureusement. Je sens ses genoux se planter dans mon dos, elle doit être plus lourde que moi. Je me tords, je me débats... Mon poignet gauche est broyé dans sa poigne de fer et une cruelle clef de bras me paralyse tout le côté. Je sens qu'elle cherche à se saisir de mon bras droit; je l'agite en tous sens pour lui échapper. Elle a réussi! Malgré tous mes efforts, elle l'attire dans mon dos. Sa puissance est vraiment herculéenne! Deux déclics, le contact du métal froid... mes poignets sont menottés dans mon dos! Mes chevilles suivent rapidement! Je suis fait!

You must... gloub... stay here until I'm... gloub... back! dit-elle d'une voix moins assurée qu'auparavant.

D'un pas pressé qu'elle s'essaie de rendre sûr elle quitte la pièce et ferme la porte. Je l'entends entrer dans la salle de bain.

Me voilà mal... Rien n'a marché comme prévu! Dans trois ou quatre heures elle sera remise et alors je serai entièrement à sa merci! Je tire sur les liens d'acier qui m'immobilisent les membres. Si au moins c'étaient des cordes, mais ses chaînes seront inflexiblement closes, à moins d'avoir les clefs...

Et soudain une idée se fait jour dans mon esprit... Et si, dans sa précipitation, elle avait oublié les clefs dans sa valise?

Esclavage

Retournement de situation

Maîtresse Sadia n'en menait pas large...

Agenouillée devant la cuvette des WC, le cou posé sur le rebord, elle sentait son estomac remonter dans sa gorge par spasmes douloureux.

Beeeuuuuurk! Sans doute le voyage en avion! ça ne lui faisait pourtant pas ça d'habitude...

Et dire qu'elle avaient encore dû mater ce maudit esclave!

Beeeeuuuuuurk! Dès qu'elle serait remise, il allait la sentir passer!

Il devait être mort de trouille, enchaîné sur son lit! ha, ha!

Elle allait le laisser poireauter pendant plusieurs heures, le temps qu'il soit à point et qu'elle même soit remise de son voyage...

Beeeeuuuuurk! Putain, ce qu'elle se sentait mal! Il lui semblait que ses boyaux se tordaient comme un nœud de serpents, que son estomac allait se retourner comme une chaussette... et cet horrible goût dans sa bouche...

Clic!

Quelque chose avait fait clic vers son poignet droit...

Beeeeuuuuurk! avait-elle mis son bracelet? Elle sentit ses bras se rassembler derrière son dos... quelqu'un les tenait! mais... clic!

Beeeeuuuurk! Elle voulut se redresser ; un genou se planta entre ses omoplates et la plaqua contre le rebord de la cuvette!

Ses poignets étaient enchaînés! Elle rugit de fureur en tirant sur la chaîne ; son rugissement se noya dans un flot de bile amère...

Elle sentit ses bras être tirés vers le haut, de plus en plus haut! Elle était du coup obligée de rester penchée en avant pour ne pas se désarticuler les épaules. Encore des déclics et elle se retrouva immobilisée dans cette position. Beeeeuuuuurk!

Ouf! Finalement tout s'est bien terminé! mais ça a été juste... Enfin... cela valait la peine de prendre des risques, car quel spectacle!

A mes pieds, agenouillée sur la cuvette, «maîtresse» Sadia est toujours agitée par les spasmes des vomissements. Ses bras sont enchaînés derrière le réservoir, ce qui l'oblige à maintenir sa position.

Pour faire bonne mesure, j'ai encore fixé un collier de gros cuir autour de son cou et une chaîne passant derrière le siphon vient s'y crocher de chaque côté. J'ai également fixé un écarteur d'un mètre entre ses genoux.

Alors, «maîtresse» Sadia... on ne fait plus la fière? me moquais-je, en insistant avec dérision sur son titre.

Un horrible gargouillis me répond, suivi de hoquets pitoyables. Ma prisonnière ne peut pour le moment pas me répondre, mais je sais qu'elle entend ce que je lui dit, qu'elle comprend tout...

Ce n'est plus Sadia que je vais t'appeler, mais souilla! C'est ça! souilla! ça t'ira comme un gant!

Nouveau gargouillis.

Tu sais, ça fait longtemps que je lis tes messages sur Internet. Avant même que je prenne contact avec toi. Je me suis toujours dit «voilà une fille un peu trop arrogante! elle mériterait de se retrouver à sa véritable place...»

-Beeeeuuuuurk! Hic!

Alors j'ai eu une idée: faire semblant d'être une de ces lopettes que tu fréquentes habituellement pour t'attirer dans un piège... et tu es tombée en plein dans le panneau!

Souilla se met à tirer frénétiquement sur ses chaînes... mais ses efforts sont vite interrompus comme une nouvelle quinte de toux et de vomissement lui tord les entrailles.

Maintenant, tu es mienne! Je peux faire de toi tout ce que je veux, et personne n'y trouvera rien à redire... sauf toi peut-être? Personne ne sait que tu es là. Chez toi, tu as dit à tout le monde que tu allais en voyage en Afrique et personne ne connaît mon existence.

Souilla tourne son visage vers moi, me fusillant du regard. Même ainsi enchaînée, elle reste impressionnante ; c'est vraiment une magnifique femelle de fauve.

You are... commence-t-elle.

Pouah! la coupé-je. Cache-moi ça! Tout le bas de ton visage est souillé de tes vomissures!

Crochant ma main dans ses cheveux, je lui enfonce le visage dans les WC. J'enroule une lanière de cuir sa valise regorge de ce genre d'articles autour de son front et la fait passer derrière la cuvette.

Voilà! comme ça elle ne pourra plus tourner la tête.

You bastard! I'll...

Elle ne termine pas sa phrase: je viens de tirer la chasse d'eau et pendant dix secondes son visage disparaît dans les remous. Lorsque la tempête se calme, je l'entends tousser et cracher. Prise par surprise, elle a dû boire la tasse.

Mais le moment est venu de passer aux choses sérieuses. Ce cul magnifique se dandine devant moi depuis trop longtemps! Je m'agenouille derrière elle entre ses jambes largement ouverte. Ses fesses magnifiques laissée totalement découvertes par son vêtement semblent m'inviter à bras ouverts...

J'ouvre la fermeture éclair dorée et mes regards peuvent alors accéder au plus intime de son corps. Je vois les muscles de ses jambes se tendre comme des cordes sous la peau, elle tape de ses pieds encore libres sur le carrelage.

Ridicule tentative de me faire changer d'avis! entre les deux lèvres de cuir noir émerge son entrejambes parfaitement épilé et tout aussi bronzé que le reste de son corps: un clitoris peureusement enfoui dans son capuchon de chair, des labias resserrées les unes contre les autres et, un peu plus haut, un anus crispé par la trouille.

Spectacle engageant...

Je glisse ma main... aïe! plusieurs estafilades griffent mes doigts: cette salope a aiguisé les dents de la fermeture éclair, on imagine dans quel but cruel...

Qu'à cela ne tienne ; je décroche le petit mousqueton qui, tout en haut de la raie de ses fesses, relie l'entrejambes à la bande dorsale de son justaucorps.

Le rempart denté tombe et m'ouvre complètement l'accès à son pubis rasé. Je dégrafe ma braguette, la saisis aux hanches... et d'une poussée la pénètre jusqu'à la garde. Je sens tout son corps vibrer, mélange de lutte et de spasmes maladifs.

Je savoure un moment la sensation, puis je la pilonne sauvagement jusqu'à ce que mon sexe explose dans son ventre tordu de douleur.

Je me rajuste mais la laisse en l'état, son justaucorps décroché pendant entre ses cuisses, sa vulve maculée de ma semence qui commence à dégouliner.

D'être resté agenouillé sur le carrelage froid m'a un peu endolori les genoux ; il faudra que je pense à mettre un tapis la prochaine fois...

Cela me donne l'idée de glisser un balai sous ses tibias. Voilà qui devrait augmenter sa souffrance!

Esclavage

Soins

Il est temps maintenant de contempler d'un peu plus près l'anatomie de ma prisonnière. J'arrache les coupelles de métal doré qui ornent ses seins et écarte les bretelles de son justaucorps sur les côtés.

Ses seins splendides sont encore plus grands de par leur position pendante et, malgré elle, restent parfaitement ferme.

Les mamelons sont parfaitement étonnants: longs de près d'un centimètre!

Je sens que je vais bien m'amuser avec eux...

Je vais chercher dans la valise trois pinces dentées. Je les croche sur ses mamelons et sur son clitoris.

Je vois tout son corps se tendre sous la douleur. Ses spasmes sont moins virulents maintenant, le médicament vomitif commence à perdre son effet...

A chacune des pinces j'accroche encore, au bout d'un fil Nylon, un poids de 500 g.

Je sens la douleur se propager à travers tout son corps comme ces délicates extrémités sont démesurément allongées.

Elle met toutefois un point d'honneur à ne pas émettre le moindre son, la moindre plainte. Tant mieux...

Les hurlements, c'est pour plus tard! Je consulte ma montre. Ça fait déjà quatre heure qu'elle a avalé la première dose...

Il est vrai qu'il m'a fallut pas mal de temps pour trouver cette saloperie de clef de mes menottes. Il est temps de passer à la suite. Je lui tire la tête en arrière par les cheveux.

Toujours ce regard de tigresse indomptée, malgré la bile et la salive qui maculent son menton. La lanière est profondément incrustée dans la peau de son front ; elle va laisser une belle marque lorsque je la retirerai, pensé-je. Je place devant ses yeux un petit œuf blanc et luisant.

Tu vois, c'est un puissant vomitif. C'est ça que, broyé par mes soins, tu as mangé tout à l'heure.

Elle m'insulte faiblement dans sa langue, mais je n'y prête pas attention. Son effet dure cinq à six heures, mais je suis un peu pressé et puis, je crois que tu es suffisamment costaude pour supporter ça.

Elle a refermé la bouche et je vois ses masséters se crisper.

Oh! tu peux fermer la bouche aussi fort que tu peux, ricané-je, c'est un suppositoire! c'est dans le cul que je vais te l'enfoncer! De toute façon, par voie orale tu le vomirais aussitôt

. Je vois dans ses yeux le rage être remplacée par la peur.

No! Don't do that! fucking bastard! articule-t-elle faiblement.

Sans répondre, je retourne m'agenouiller entre ses cuisses. Je vois son sphincter se crisper encore plus fort.

Tu fais la grande putain, la reine du sexe ; tu fais bander des milliers de mecs à travers le Monde par tes textes sur Internet, mais au fond, tu n'es qu'une petite mijaurée.

No, please! Not here!

Elle remue son derrière de droite et de gauche dans les limites que lui autorisent ses fers ; pas très efficace...

Sans pitié, j'enfonce l'immaculée capsule dans son rectum étroit ; profond, encore plus profond...

Je sens ses muscles péristaltiques qui se contractent autour de mes doigts, cherchant à éjecter l'intrus aux propriétés diaboliques. Mais celui-ci commence déjà à fondre...

Je brandis alors devant ses yeux un immense gode en caoutchouc noir.

Et ça! Tu comptais en faire quoi? grincé-je.

I hate you! Leave me alone, son of a bi... oooooooooow!

Je viens de lui rentrer ses insultes dans le corps en enfonçant d'un coup sec le monstrueux instrument cinq centimètres de diamètre pour trente de longueur dans l'anus.

J'use alors de la lanière idoine pour le maintenir en place.

Mais qu'entends-je? des pleurs?

Pas si dure que ça la nénette!

Et remercie moi de n'avoir pas utilisé les autres godes!

Quelques minutes plus tard, les spasmes puissants de ses entrailles reprenaient...

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